« Oui, la communauté est divisée, c’est indéniable », me dit celle qui a cofondé un organisme appelé Collectif Territoire, pendant que nous marchons le long du lac Osisko, en plein cœur de Rouyn-Noranda.
« Quand on aborde frontalement la question de la fonderie, il y a une polarisation claire, continue-t-elle. Et la gestion de crise faite par le gouvernement… c’est comme s’il avait suivi un manuel sur comment créer une crise sociale ! »
À Rouyn, le paysage est dominé par les deux cheminées de la Fonderie Horne, qui continue de cracher de l’arsenic dans l’air à des concentrations qui dépassent les normes. Mais l’usine soutient aussi 600 emplois directs et 1850 emplois indirects.
lapresse.ca/dialogue/chronique…
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... montrer plus« Oui, la communauté est divisée, c’est indéniable », me dit celle qui a cofondé un organisme appelé Collectif Territoire, pendant que nous marchons le long du lac Osisko, en plein cœur de Rouyn-Noranda.
« Quand on aborde frontalement la question de la fonderie, il y a une polarisation claire, continue-t-elle. Et la gestion de crise faite par le gouvernement… c’est comme s’il avait suivi un manuel sur comment créer une crise sociale ! »
À Rouyn, le paysage est dominé par les deux cheminées de la Fonderie Horne, qui continue de cracher de l’arsenic dans l’air à des concentrations qui dépassent les normes. Mais l’usine soutient aussi 600 emplois directs et 1850 emplois indirects.
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#communauté #culture #art #social #Glencore #Fonderie #Horne #mine #Zone tampon #CollectifTerritoire #artistes #scientifiques #industriels #Rouyn-Noranda #Abitibi

Partout au Québec, des communautés se mobilisent pour surmonter des épreuves. Cet automne, Dialogue vous invite à en visiter quelques-unes. Aujourd’hui : Rouyn-Noranda, où les enjeux liés à la Fonderie Horne divisent la population.
La Presse